Lilia, belle Lilia, banana et nougat
Je dois avouer que je redoutais un peu ces presque deux mois de vacances, sans travailler à l'extérieur, tant j'ai été dans un tourbillon pendant deux ans. J'avais un peu oublié ce que c'est que de se reposer, tellement habituée au rythme effréné du quotidien. Occuper Lilia, s'occuper soi-même, patienter en attendant les départs. Je ne me souvenais plus trop comment je faisais avant. Puis trouver du temps (et la motivation) pour réviser un concours pour lequel je sais pertinemment que je ne serai pas prête à temps. Tout ce vide à combler. Mais curieusement, devant ces belles journées qui s'étirent (pardon, ici, il fait beau ;)), je ne suis pas angoissée, je suis finalement étrangement zen. L'occasion de profiter d'une notion qui est malheureusement abstraite pour beaucoup : prendre son temps. C'est un concept auquel je pourrais m'habituer.
PS : Le rapport avec les photos, c'est que j'ai enfin pu dépoussièrer mon Lumix.
PSbis : Du neuf le jour J, c'est la classe à Dallas, hein ?